jeudi 29 juin 2017

On s'occupe comment cet été ?


   Soleil flamboyant, ciel épuré, chaleur insoutenable, et grandes vacances pour les plus chanceux. Tous les signes que l'été est bel et bien installé pour cette année. Et pendant ce laps de temps, qu'est-ce qu'on regarde, et qu'est-ce qu'on écoute ? De grandes questions avec une immensité de réponses possibles, mais aujourd'hui je vous présente les miennes. Ma petite sélection personnelle de séries, films et albums, totalement feel good pour cette saison.

     Sur le petit écran, qu'est-ce qu'il y a ? Qui dit été dit deux choses : envie d'être relaxé, mais aussi plus de temps. C'est pour ça que l'été c'est la saison parfaite pour les séries feel good, qui allient bonne humeur, personnages attachants, humour et émotion, sans être jeté pour autant dans un torrent de drame. Pour cela, je vous propose Jane The Virgin, série de trois saisons qui n'était pas vraiment attendu à sa sortie, et qui a réussi à faire un carton en alliant humour, intrigues rocambolesque et romance. Parodie des télénovelas, elle saura parfaitement vous satisfaire en suivant les aventures de Jane, une femme vierge qui se retrouve accidentellement inséminée et de ce fait enceinte, et vous n'êtes pas au bout de vos surprises. Envie de pousser la chansonnette ? Deuxième série feel good que je propose c'est Nashville. Elle se place dans la célèbre ville de la country et suit des artistes flamboyants ou à en devenir. Pleine de drama aussi, parce qu'il faut bien, elle contient des personnes attachants dont on a envie de suivre les histoires, et a cette atmosphère familiale qui peut plaire. Si vous avez du temps, je ne peux que vous inviter voir, revoir, ou re-revoir Desperate Housewives ! Pas besoin de s'étendre, tout le monde connait, et tout le monde aime ou aimera suivre les aventures de ces femmes et de quartier plein de surprises et de charme. Si vous aimez le drama en toute saison et les séries cultes, c'est Lost que je vous propose. Et bien oui, quelle meilleure moment de l'année pour regarder une série qui se passe sur une île -plus ou moins- déserte ? Si avez envie d'humour sans drama, je vous propose enfin Parks and Recreation, Brooklyn Nine-Nine, Fresh Off The Boat, ou la cultissime Friends. Rien de mieux que des épisodes de vingt minutes et des fous rires garantis.

    Le petit écran c'est fait, passons donc au grand. Vous savez que je suis loin d'être une experte en cinéma, et que je suis encore plus loin d'avoir vu tout ce qu'il y avait à voir. Pour autant j'ai quand même tenu à vous faire cette petite sélection de films qui répondent véritablement au terme feel good. Mamma Mia c'est ma valeur sûre. Je le regarde chaque été sans m'en lasser. Grande fan d'ABBA ça aide sûrement, mais tout est bon dans ce film, les acteurs, les personnages, les scènes ! Pour rester dans l'univers de la chanson, Good Morning England, que j'ai vu il y a pas mal de temps déjà mais qui m'a énormément touché et plu. Autre film qui conjugue histoire forte et humour, c'est Intouchable. Découvert cette année j'ai adoré du début à la fin, et j'en redemandais encore. L'été c'est aussi le bon moment pour se faire de bons blockbusters, des films d'action qui nous berce dans un univers. Pour ça je propose la trilogie X Men, que j'adore et dont je ne cesserai jamais de louanger (surtout les trois premiers, même si les autres sortis sont plaisants aussi, rien ne vaut les premiers) ou bien pour rester dans l'univers superhéros Les Gardiens de la Galaxie.


    Et pour finir, quand on a juste envie de fermer les yeux et de se laisser bercer par une belle mélodie, voici ma sélection d'albums. Mon incontournable qui se devait obligatoirement d'être dans cette liste, plus encore en été, c'est Animal de Fakear. J'ai écouté cet album un nombre incalculable de fois et je ne m'en lasse pas, il respire véritablement l'été, la sérénité, le bien-être intérieur. Autre album, autre style, une découverte toute nouvelle qu'est AIM de MIA, qui propose des sons originaux et énergiques. Revenons quelques décennies en arrière avec Rumors des Fleetwood Mac, style pop-rock très bohème, très d'époque, mais avec des musiques qui ne vieillissent pourtant aucunement. Je glisse aussi mon petit coup de coeur du moment, du rap français, Disiz la Peste avec Pacifique, petit chef d'oeuvre de mélodies et de paroles qui met du baume au coeur autant qu'il nous fait réfléchir. Un classique pour moi, c'est An Awesome Wave de Alt-J, un de mes groupes favoris, qui propose des sons indémodables. Découverte du mois dernier, c'est 9 de Cashmire Cat, des morceaux electros orignaux avec de bons featuring, de quoi se mettre bien dans l'ambiance. Dans le genre plus pop, mon gros coup de coeur de 2017 (qui le restera peut-être jusqu'à la fin, qui sait) Number 1 Angel de Charli XCX dont je ne me lasse pas, ou So Good de Zara Larsson. Je termine cette sélection musicale avec un peu de rock, et l'album de 2016 de Sum 41, 13 Voices qui m'a fait véritablement redécouvrir ce groupe que je connais depuis l'enfance sans vraiment m'y être attardée avant.

    J'aurais voulu proposer des lectures aussi, mais je lis vraiment de moins en moins, ce sera donc peut-être pour l'année prochaine, avec un peu de motivation je présenterai peut-être un article avec mes lectures de 2017, si elles avancent. C'est un nouveau genre d'article que j'ai beaucoup aimer faire, et qui sera possiblement de retour pour l'hiver, à voir. N'hésitez pas à proposer vos séries, vos films et vos albums, pour m'en faire découvrir de nouveaux !

Eléonore
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lundi 19 juin 2017

Château de cartes ou jeu d'échec ?


   C'était il y a un an, lors du Challenge Séries 2016, que j'ai commencé la série House of Cards. J'en avais beaucoup entendu parler, on me l'avait même conseillé, et pourtant malgré beaucoup d'ingrédients qui pouvaient à coup sûr me plaire je ne l'ai commencé que très tard. C'est un mal pour un bien car de ce fait j'ai pu visionner les quatre saisons d'une traite, et quel plaisir ! Il est donc temps pour moi de m'arrêter aujourd'hui sur ce petit bijou de la télévision, rentré avec une facilité déconcertante dans mon top 5.

    Mais House of Cards, de quoi ça parle ? C'est une série politique produite par Netflix, qui fait grandement parler d'elle dans la sphère des sériephiles. C'est aussi le remake américain d'une série anglaise, mais qui fait donc les choses bien à sa façon puisque les systèmes politiques ne sont pas tout à fait pareil dans les deux pays. Dans le pilote de la série, le décor est planté : Frank Underwood, personnage principal, politicien expérimenté, se fait piquer la place qu'il convoitait tant. Suite à ça, il décide de changer complètement son fusil d'épaule, de ne plus faire dans les règles, mais bien de suivre les siennes et de tout faire pour se hisser sur la grande marche. On comprend rapidement que le but de Frank est de devenir président des Etats-Unis, et que dans les premières scènes de l'épisode, tous les personnes l'entourant auront à un moment ou à un autre un rôle. Frank est entouré de deux personnes importantes : Claire, sa femme, qu'on comprendra rapidement tout aussi ambitieuse que son mari, et Doug, son bras droit, qui ferait n'importe quoi à la demande de son patron.

   Les sujets centraux varient selon les saisons, car l'histoire progresse. Cependant on retrouvera les mêmes éléments pendant les cinq saisons, simplement revisités, mieux maîtrisés. L'importance de la presse est bien présente tout au long des saisons, presse qui est soit un allié quand Franka arrive à maîtriser cet élément, soit un ennemi quand cet élément s'attaque à lui. Autre grand personnage non humain de la série, c'est bien entendu la Maison Blanche, et tous ceux qui y circulent. Deux entités puissantes qui s'uniront, se démoliront tout au long des saisons. Et dans ces deux puissances, des personnages, certains bons, justes, certains plus machiavéliques. La série révèle sans nul doute le côté qu'on aime imaginer de la politique : celui des stratégies, des alliances, des coups bas, des trahisons, des vengeances. La politique est montrée comme un jeu d'échec, il y a le but final, les façons d'y arriver, les pions, les pièces maîtresses du jeu, le tout dirigé par un esprit intelligent qu'est celui de Frank Underwood.

     La série m'a tout de suite accrochée. Intéressée par la politique de base, cela a peut-être joué, mais je suis certaine que c'est une série qui peut plaire à tous. Il y a des intrigues, à la fois politiques, personnelles et amoureuses. Mais ce qu'il y a de mieux dans House of Cards c'est son atmosphère. Il y a bel et bien une ambiance propre à la série, qu'on voit déjà au visuel : tout est très froid dans la série, très gris, très organisé, très droit. Tout est à sa place dans une ambiance presque glaciale dans laquelle évoluent tous les personnages, qui sont eux-mêmes froids, gris et organisés. Le grand coup de maître, si je puis dire, de la série, ce sont aussi les moments face caméra. En effet Frank à des moments, nous parle. Comme des apartés rien que pour nous, pour nous expliquer la situation, pour dévoiler ses projets, ses plans tordus. Il fait de nous non plus de simples spectateurs, mais des complices de ses actes. C'est un homme charismatique aux actes troubles qu'on ne voudrait pas cautionner, mais qui par ce système de face caméra, nous inclue contre notre grès. 

    Difficile de faire concis sur une série aussi complète. Pour autant je vous conseille franchement le visionnage de House of Cards, qui amène drame, rebondissement, malice, stratégie, rire, pleure, le tout dans une atmosphère bien à elle. Les intrigues et les personnages évoluent tout du long, il y a des alliances qui se font et se défont, même celles qu'on pensaient durables pour toujours. House of Cards c'est la loi du plus fort, mais en plus rusé.

Eléonore
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mercredi 7 juin 2017

7 raisons de se mettre à la k-pop


   C'est la premier fois que je fais un article du genre, mais je me suis que ça pourrait être intéressant pour ceux qui ne sont pas encore tombés dans l'univers de la k-pop, de comprendre pourquoi ça a pris autant d'importance et de vous donner quelques raisons de céder. Il est possible d'avoir une mauvaise opinion sans avoir forcément déjà écouté cette musique, parce que ça semble être un monde un peu à part dans l'univers musical, avec une fanbase solide et active qui peut un peu rebuter. J'avoue avoir eu un peu d'a priori au début, parce que j'avais l'impression que c'était surtout une image négative qui en ressortait. Voici donc X raisons de découvrir ce style.

1. La k-pop ce n'est pas qu'un seul style de musique. C'est souvent résumé à "pop coréenne" mais c'est en fait bien plus que ça, c'est un véritable mélange de genres. Si bien entendu le fond reste souvent très pop, il est agrémenté de rap, de r'n'b, de rock, d'electro, de dance, ou être simplement une ballade. C'est pour moi ce qui fait le grand charme de la k-pop, de ne pas être défini par un style, de savoir mélanger, de savoir expérimenter, et faire des assemblages orignaux qu'on n'entend pas forcément en Occident.

2. Un peu de dépaysement. Le français on connait, l'anglais on connait, même l'espagnol et les langues nordiques on commence à les entendre, mais souvent le coréen c'est nouveau à l'oreille. Le plus clair du temps, on comprend pas ce qu'il veut dire si on n'est pas bilingue, et si ça peut en rebuter certains, c'est une découverte, un exotisme qui peut aussi plaire. Les titres sont souvent en anglais, et il y a aussi souvent quelques mots ou quelques phrases en anglais dans les chansons, donc si, on peut quand même chanter avec !

3. Des groupes bien remplis. Bien entendu, dans la k-pop il y a des artiste solo, mais c'est vrai que la musique est surtout dirigé par des groupes. En Occident, il n'y a pas tant de groupes de chanteurs que ça, et il est rare de les voir dépasser les cinq membres. Alors qu'en k-pop, il n'y a rien de choquant à voir des groupes de sept, de neuf, ou de onze membres. Encore une fois, on aime ou on aime pas, et c'est souvent un peu compliqué de s'y retrouver, mais c'est un charme qu'il faut leur laisser. Et c'est une sacrée performance de gérer autant de monde, de tout synchroniser autant dans les paroles que dans les chorégraphies.

4. L'importance des chorégraphies. Oui parlons-en des choré ! On en a aussi par chez nous, mais ça n'a rien à voir. Dans la k-pop c'est vraiment important, tellement que toutes les représentations reproduisent cette chorégraphie qui correspond à la chanson, et qu'il y a sur internet ce qu'on appelle des dance practice, où les membres dansent pour qu'on puisse reproduire les pas si ça nous plait. De ça est né pas mal de vidéos et de chaines de covers de danse. Il n'y a pas de choré pour toutes les chansons, mais souvent les clips ont une grande partie dansée autant qu'une partie esthétique.

5. La beauté du visuel. Outre la chorégraphie, le gros charme des clips de k-pop se sont l'esthétisme apportée. C'est clairement plus travaillé, plus original, et plus ambitieux que les clips occidentaux. D'ailleurs dans le milieu on dit M/V pour music video. Avant d'aimer la k-pop je ne m'intéressais pas du tout aux clips, car souvent sans grand intérêt que de voir l'artiste, mais depuis j'adore. L'esthétisme est vraiment présente, au niveau des partis pris des couleurs, des décors, des costumes. On est plongé dans un monde beau visuellement qui donne envie de voir le clip encore et encore, pour en comprendre les détails, ou simplement pour admirer le travail derrière. 

6. La proximité des artistes. Bon quand je dis proximité je veux pas dire physiquement, parce que c'est à peine s'ils viennent en Europe pendant leurs tournées, ni même au niveau de la langue parce que tous ne parlent pas anglais. Mais en Corée la k-pop c'est vraiment le premier style de musique, et il a une grande importance dans la vie des artistes (dits idols) et des fans. Ils sont souvent filmés, photographiés, ils participent à des interviews, à des shows télévisés, ils ont tout pour se promouvoir. Bien entendu c'est aussi le cas pour nos artistes occidentaux, mais c'est vraiment plus "intimes" dans la k-pop, ou même des moments de vie, des sortes de bêtisiers, peuvent sortir. De ce fait il y a énormément de vidéos des idols.

6. Découvrir toujours plus. Ce point peut reprendre l'ensemble des points précédents. On peut découvrir vraiment beaucoup de choses en écoutant de la k-pop, première une diversité des styles, des "concepts" proposés par les artistes, des arts (entre musique, danse, et visuel). Vient ensuite la découverte d'une nouvelle langue, n'une nouvelle écriture, d'une nouvelle culture. Devenir de plus en plus curieux de comment on fait et on voit les choses en Corée, qui s'avère souvent bien différent de ce que l'on fait chez nous. Et enfin décider de ratisser plus large, et de s'intéresser au cinéma coréen (qui commence à vraiment monter en puissance d'un point de vue international), mais aussi aux dramas (style télévisuel que j'adorais quand j'étais plus jeune et que j'ai -un peu- repris depuis que je me suis mise à la k-pop), à la littérature, à la langue, à la cuisine, ... 

   Et pour conclure cet article quoi de mieux qu'une petite sélection de mes chansons et m/v préférés ? J'écoute autant de boys bands que de girls bands, donc chacun devrait trouver son bonheur.


Eléonore
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vendredi 2 juin 2017

Le film de la semaine : bilan de mai


     Qui dit fin du mois, dit article bilan sur les films que j'ai pu voir. J'avais décidé d'un thème pour mai : les biopics. C'est un genre que j'aime particulièrement parce que je suis toujours curieuse de connaître la vie d'artistes et stars que j'aime, ou de connaître une histoire extraordinaire qui s'est véritablement passée. C'est un thème que je referai sûrement au cours de l'année, parce que j'ai une longue liste de biopics à voir. J'ai aussi été deux fois au cinéma, deux film hors thème des biopics mais que je me devais d'ajouter quand même.

Frida | La vie de Frida Kahlo, artiste peintre mexicaine du XXè siècle qui se distingua par son oeuvre surréaliste, son engagement politique, sa bisexualité. → Frida, c'est un sacré personnage. J'en entends parler depuis des années, mais j'avoue avec honte que je suis jamais allée voir plus loin de qui elle était, et de ce qu'elle faisait. Ce mois des biopics était donc le moment parfait pour me faire ce film, et tout apprendre d'elle, ou presque. J'ai vraiment beaucoup apprécié le film, par son esthétisme, par sa façon de raconter cette histoire, mais c'est surtout Frida qui m'a interpellée. Je comprends maintenant pourquoi tant d'engouement envers elle, c'était une femme incroyable forte, talentueuse et pleine de valeurs et d'opinions. Un caractère fort ponctué d'une sensibilité humaine et artistique, je dis oui.

Dalilda | Le film est le portrait intime d’une femme absolue, complexe et solaire. Une femme moderne à une époque qui l’était moins. Malgré son suicide en 1987, Dalida continue de rayonner de sa présence éternelle. → Dalida, c'est un personnage qui m'a toujours fasciné. Elle n'a jamais été oubliée de français, et même si je suis née bien longtemps après sa mort, j'en ai entendu parler encore et encore. Je voulais absolument voir le film à sa sortie, mais je n'ai finalement pas pu, mais c'est maintenant chose réglée. C'est un vraiment bon film, qui dure longtemps mais ne s'éternise pas. Je n'ai pas vu le temps passer, tant j'étais fascinée par le personnage, par sa vie, par ses tracas. Le seul reproche que je peux faire, c'est que le film se fixe surtout sur ses relations amoureuses, et moins sur sa psychologie ou sa passion de la musique, et j'ai trouvé ça dommage. J'avais le sentiment qu'elle a été réduite à ses histoires de coeur en fait, mais ça reste un film que je conseille si vous aimez Dalida ou que vous voulez en savoir plus sur sa vie.

Walk the line | 1957. L'Amérique ébahie découvre la première rockstar de l'Histoire. Son nom : Johnny Cash. "L'homme en noir" a connu tous les excès. → Première chose à savoir : j'adore Johnny Cash. C'est donc naturellement que ce film était dans ma liste de films à voir cette année, et qu'il rentrait parfaitement dans le thème de ce mois. On découvre les débuts du grand chanteur, comment à a débuté, comment il a vécu ce passage de personne lambda à rockstar. Sa relation avec la chanteuse June Carter est l'élément essentiel du film, et autour de ça valse sa relation avec son père, sa première femme, et la drogue. Un film qui a à la fois cassé un peu le mythe que j'en avais, tout en le réveillant en même temps. Il a vécu des merdes, c'est pour ça que ses chansons sont vraies. Biopic qui n'a pas été un coup de coeur pour autant, il y a eut des moments où je me suis ennuyée, mais je le conseille tout de même au fan de Cash et de country.

Le roi Arthur | Jeune homme futé, Arthur tient les faubourgs de Londonium avec sa bande, sans soupçonner le destin qui l'attend – jusqu'au jour où il s'empare de l'épée Excalibur et se saisit, dans le même temps, de son avenir. → On sort complètement du thème biopic. C'est le premier film vu au cinéma que j'ai à vous présenter. Il reprend donc la célèbre légende du roi Arthur, qu'on connait tous plutôt bien puis-ce qu'elle fait partie de l'imaginaire occidental depuis longtemps. C'est une légende que j'adore et que j'aime redécouvrir. Le film est un mélange d'action, d'épique, et de touches comiques. C'est un bon film, avec de beaux décors, une belle bande-son, des personnages plutôt séduisants, mais il n'a rien de transcendant pour autant.

Les gardiens de la Galaxie | Les Gardiens vont cette fois devoir lutter pour rester unis lorsqu’ils percent le mystère de la véritable filiation de Star-Lord. → Deuxième film vu au cinéma. J'avais vu le premier il y a peut-être un an, parce que je suis toujours récalcitrante face aux films qui buzzent. J'ai bien aimé le premier, mais sans plus. Ce second volume par contre a été un gros coup de coeur. Les éléments comiques, d'action, du premier ont été repris, ainsi qu'une bande-son toujours géniale à écouter. J'ai sûrement préféré le second parce que je l'ai vu au cinéma, et je pense que ça change pas mal de choses. Les personnages sont toujours aussi drôles et excellent, l'intrigue principale était bonne à suivre, et il y a eu des passages véritablement émouvants.


   Le mois de juin étant le Pride Month, je vais essayer de faire un thème spécial LBGT, vu que j'ai en plus une longue liste à voir de films qui traitent de ce thème, mais si vous avez des recommandations, je suis pour aussi. On se retrouve le mois prochain pour l'article bilan de juin, et entre temps pour un (voire deux) articles musique !

Eléonore
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