dimanche 7 mai 2017

Le film de la semaine : bilan d'avril


   Ce mois d'avril n'a pas été aussi fort en visionnage que celui de mars, mais j'ai tenu le quota des quatre films par mois, c'est déjà ça. Pour avril, je n'avais pas de film prévu, ni de film que j'avais absolument envie de voir. Tout s'est plutôt fait par envie du moment, et c'est donc ainsi que je me retrouve étrange avec quatre films qui rendre dans la catégorie épouvante-horreur (sans être véritablement des films d'horreur, puis-ce que je n'aime pas du tout ça de base). Voici donc le bilan de ce mois.

American Nightmare 1 et 2 / Dans un avenir proche, le crime a été éradiqué. Pendant douze heures, une fois par an, tout le monde peut commettre un crime sans être arrêté. → J'avais vu le troisième parce que l'actrice principale est une actrice que j'adore, et j'ai été totalement charmée par l'idée de cette saga. Pendant douze heures, tous les crimes sont permis, ce qui montre une facette sadique de l'homme, une facette qu'on connait tous. Le premier propose un huis-clos dans la maison des protagonistes qui devront donc affronter des ennemis de l'extérieur cherchant à s'introduire pour les nuire. C'est celui des trois que j'ai le moins aimé, même si je l'ai aussi apprécié. Le deuxième se passe cette fois-ci à l'extérieur, et suit des personnages qui ne se connaissent pas mais qui devront essayer de survivre à cette horrible nuit ensemble. J'ai aimé ce dernier parce qu'on évoque un début de politique. Ce système nuit surtout aux pauvres, qui sont les premières victimes de cette nuit d'horreur, et c'est ce qui sera aussi dénoncé dans le troisième volume, qui reste mon favoris des trois.

Dernier train pour Busan / Un virus inconnu se répand en Corée du Sud, l'état d'urgence est décrété. Les passagers du train KTX se livrent à une lutte sans merci afin de survivre. → Je n'ai entendu que du bien de ce film, et ce fut un véritable coup de cœur ! J'avais absolument envie de me diriger vers des films asiatiques cette année, et j'ai véritablement aimé la façon de mettre en scène les zombies. J'avoue être assez fan des zombies, et je vais peut-être commencer à regarder plus de films là-dessus, Dernier train pour Busan m'en a vraiment donné envie. On suit les passagers d'un train dans des situations dangereuses et effrayantes, avec des zombies beaucoup plus rapides, réactifs et inquiétants que ceux que j'ai déjà pu retrouver dans le milieu américain. Des personnages attachants, des situations qui tanguent entre angoisse, sentiment. J'ai vraiment été pris dans le film, je me suis attachée -malheureusement- à certains personnages, et j'ai aimé voir cette façon de raconter la catastrophe des zombies.

Resident Evil : Finale Chapter / Alice, seule survivante de la bataille de Washington contre les zombies, doit retourner à l’endroit où le cauchemar a débuté : le Hive à Raccoon City. → Chapitre final d'une longue saga, dont je n'ai vu aucun film avant celui-ci. J'avais peur d'être un peu paumée par rapport à l'histoire, mais je pense m'en être sortie sans soucis. J'ai toujours voulu tenté cette saga et c'est un peu par hasard (comme pour le reste des films de ce mois) que j'ai voulu voir ce que c'était. Beaucoup d'effets spéciaux, beaucoup d'actions, beaucoup de screamers. Mais aussi une quête d'une identité et d'un monde qui touche à sa fin. J'ai bien aimé ce film, parce que j'avais envie d'action, de divertissement, et j'ai eu tout ça. Je ne peux pas juger de sa qualité par rapport aux précédents, mais il est certain que je vais rattraper mon retard et regard tous les autres, parce que j'aime ce genre de monde post-apocalyptique et dystopique.



C'est donc tout pour ce mois un peu plus brouillon que les autres pour le moment, mais qui finalement se regroupe assez bien de par les films vus. J'en suis donc à 20 films vus sur les 52 normalement prévus pour le challenge. Autant dire que pour une fois je m'en sors pas mal, et que j'ai même l'ambition d'aller au-delà des 52 - mais ça, on verra bien. Pour le mois prochain, je réserve une thème spécial, comme j'avais dit que j'en ferai parfois.  

Eléonore
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